Memphys De Mortevallée

[HRP]Bonsoir tout le monde !

Donc, je vais débuter par ce message complétement HRP avant de me lancer dans mes récits RP, histoire de ne pas vous embrouiller. (C'est mon point fort, embrouiller les gens.)

Tout d'abord, faut savoir que j'ai jamais eu la main verte pour écrire les BG même si j'en ai écrit plus d'un, donc si vous voyez des annomalies assez affreuses ou si certains passages vous semblent floue, je vous serait reconnaissant de m'envoyer tout ça en MP, que je puisse corriger, ce qui me semble clair ne l'est pas forcement pour tout le monde, et justement j'écris pas pour moi, j'écris pour vous.

J'ajouterais mes textes au fil des jours, j'ai souvent tendance a me lancer dans un personnage sans avoir sur le coup des idées pour son BG, généralement les idées viennent en jeu, une fois que sa personnalité est établie.

Je vais vous poster la fiche personnage, a la suite de ce post, les textes viendront dans la semaine. [/HRP]

Citation :

Informations complémentaires

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Nom :

L'individu se fais connaître sous le nom de Memphys De Mortevallée.

Âge :

L'oeil attentif lui donnera physiquement la vingtaine d'années, bien qu'en réalité, il soit âgé d'un quart de siècle.

Race :

Né en Cimmerie de père cimmérien et de mère cimmérienne, Memphys est par conséquent un cimmérien pure souche.

Classe :

Des aptitudes martiales accentuées, un goût et un talent certain pour les Arts Sombres, l'index droit décoré d'une bague templière, Memphys est sans aucuns doutes apparenté a l'Ordre des Templiers Noirs.

Langue :

Le jour ou il vous adresse la parole dans une langue autre que celle commune a toutes et tous, les poules auront des dents.

Divinité et croyances :

Il croit en l'existance des dieux, mais ne prie ni Ymir ni Crom, quoi de plus normal pour quelqu'un aillant vendu son âme au Démon ?

Ennemis jurés :

Memphys s'impose comme la bête noire de tout les envahisseurs voulant s'emparer de sa Cimméria et de toute personne osant faire preuve d'arrogance vis a vis de son Ordre.

Alignement :

Il est quelqu'un de loyal dans les causes qu'il défend, mais ne jamais remettre ses engagements en doute, sans quoi il pourrais s'averé aussi néfaste que la peste.

Statut actuel :

Il n'y as pas que des nomades en Cimmérie, il existe aussi une nôblesse bâtarde qui étendent leur domaines sur des parcelles de terrains, Memphys fût le fils de l'une de ses familles "nôble", avant de servir de muraille, pour un rempart qui gagne en stature jour après jour.

Traits de caractère :

Personne n'oublie ses racines ni ses bonnes habitudes, malgrè sa nature, Memphys est quelqu'un de maniaque, a tel point qu'il évite de se mêler a la foule, la qualifiant de trop salissante pour lui, serait t-il hautain envers ses propres soeurs et frères ?

Aussi changeant que la femme, Memphys peut devenir froid et sec de manière plutôt considérable, faisant de lui quelqu'un que l'ont peste comme la galle. Caressez le dans le sens du poil, et il deviendra aussi doux que l'agneau.

Vous risquez de l'appercevoir souvent, seul dans son coin, jaugeant chaque élément de son entourage d'un oeil observateur, calculateur et surtout inquisiteur.

Description physique :

L'entité que vous jaugez de la tête aux pieds, semble être âgée d'une vingtaine d'années, de stature plutôt démesuré et colossale parfaitement bien disproportionnée, il vous sera donc aisé de le qualifier de guerrier.

Vous noterez que ses traits sont relativement fins et gracieux difficile de croire qu'il soit cimmérien, plutôt agréable a lire, bien qu'une vilaine et ignoble balafre débutant sur son arcade sourcillière gauche et s'achevant aux tréfonds de sa joue gauche les massacrent un tantinet, sans conteste l'oeuvre d'une arme de type tranchante.

Sa chevelure est mi-longue avec quelques mèches rebelles qu'il s'acharne a essayer de remettre en place, celle-ci offre a son joli minois une once de virilité supplémentaire, ses yeux souvent plissés quant a eux demeurent vert profond, au moin autant que l'émeraude, contrastant de façon plutôt prononcé avec sa peau proche de l'albâtre.

Son regard est relativement changeant, rarement pervers, parfois cruel, souvent malicieux.

L'oeil attentif notera que Memphys semble prendre grand soin de son physique, de sa tenue vestimentaire et de son hygiène personnel.

Citation :

Chapitre I : La ride du Père.

Notre attention se porte sur Njall Vard'Heim un cimmérien des plus commun, âgé d'un quart de siècle d'années, jadis guerrier Garde de Conarch, aujourd'hui paysan aillant pris comme épouse Olga, elle aussi ancienne Gardienne de Conarch, et aujourd'hui paysanne.

Njall as toujours était quelqu'un d'avide, il aimais la conquête, la richesse mais surtout le pouvoir, cette sensation d'être supérieur aux autres, la sensation d'être un dieu vivant, il aimais aussi son âge et son physique actuel, il est vrai que nombreuses femmes se l'était arrachés, il y a quelques années de cela mais depuis la présence d'Olga dans sa vie, toutes y avais renoncées de peur de subir le courroux meurtrier de celle-ci.

C'est lors d'une matinée comme toutes les autres, aux premières lueurs du soleil qu'il se contempla comme tout les matins de longues minutes dans son mirroir.

Un hurlement d'horreur se fis alors entendre, dans la ferme isolé, Olga accourue.

Olga > "Pourquoi tu gueule commeca ?"
Njall > "C'est... C'est... C'est horrible ! J'ai une ride ! Là ! Sur le front !" Dis t-il en se tattant le front.
Olga > "Et alors ?"

Njall posa son regard proche de la démence sur son épouse, avant de lui répondre sur un ton passablement sec et mauvais.

Njall > "Et alors ?! Me voilà moche a présent ! Comme tout ses péquenaud de Cimmeriens qui sentent la mort !"
Olga > "Eh oh, eh oh... C'est la vie... Je vois pas ce que tu pourra y changer, tout le monde fini par avoir des rides."

Njall > "Non ! Pas tout le monde ! Certains n'en ont pas, certains restent beaux ! Comme ses Templiers !" Lui répond t-il alors Njall, toujours en train de se lorgner dans le mirroir, le regard rongé par le dégout.

Olga > "..."

Olga un peu choquée par le comportement et par les dires de Njall reprend quelques instants plus tard d'une voix un brin intimidée.

Olga > "Les Templiers sont des démons, c'est pas pareil... Et puis... Je t'aime comme tu es moi... Alors ôtes toi cette idée stupide de la tête..."

Njall > "Et en quoi c'est une idée stupide ? C'est un atout comme un autre."

Le ton d'Olga devint alors changeant, tout proche de l'agressivité pur et simple.

Olga > "Je te dis que les Templiers sont des démons ! Ils n'ont pas de coeur ! Plus d'âmes ! Ils vivent pour le sang ! Ils perdent tout ! Toi comprendre ?!"

Njall > "Ils retrouvent un beau visage, chaque chose a son prix ! J'ai rien a perdre de toute façon."

Olga haussa doucement le sourcil droit, les bras croisés.

Olga > "Et moi, tu m'oublies ?"

Njall > "Et alors ? Tu penses qu'a ta pomme tu souhaite m'empecher de retrouver ma beauté." S'exclame Njall sur un ton démentiel.

Olga > "... C'est qu'une ride bon sang !"

Njall > "J'ai fais mon choix... T'es encore la ?"

Olga quitta la demeure, en claquant la porte d'une façon plutôt sèche.

Njall se contenta d'hausser les épaules, l'air complétement indifférent, plus préoccupé par sa ride que par le reste.

"Bon ! Comment vais-je proceder ? Je sais qu'ils ont vendu leurs âmes à des démons, ou autre créature contre-nature... Je sais qu'ils font couler le sang pour ces créatures... Pour leur voler leurs âmes et nourrir leur Maître démon... En échange... Ils deviennent puissant... Riche, ben ouais... Le pillage sa dois payer. Ils gagnent en pouvoir...Peut-être que Conan lui même en est un ? Au diable ce misérable... Il est bien trop laid pour ça."

Njall se massa le menton, toujours plongé dans ses songes, face au miroir.

"Ils faut que ce soient eux qui se déplace vers moi, il faut que je me fasse connaître... Et pas en tant qu'enfant de coeur... Ils veulent du sang ? Je vais leur en donner moi !
Je vais recruter du mercenaire... On va rasé des villages ! Des villes ! Des cités ! Des pays ! Je tuerais cent moches ! Non ! Milles moches ! Non ! Des milliers de moches !"

Njall récupéra ses armes et son armure dans son entrepot, l'air toujours aussi démentiel.